Le Lycée de filles - Notes

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Notes

1 D'abord lycée impérial puis collège royal sous la Monarchie de Juillet, il accueillera des personnalités telles Lebrun, Lyautey, le père de Foucault et naturellement le célèbre mathématicien nancéien Henri Poincaré qui lui donnera son nom.

2 Trois fléaux de la classe ouvrière et Mandement pour le saint Temps de Carême de l'année 1900. Lettre pastorale de monseigneur l'Evêque de Nancy et de Toul, Nancy, A. Crépin-Leblond, imprimeur de l'évêché, 21, rue Saint Dizier et 40 rue des dominicains. Turinaz cite ici Saint Paul, Epître aux Ephésiens.

3 Un article de Gianni Molin a été consacré au "Mandement pour le carême de l'an de grâce 1868, dit Mandement d'alarme", Bulletin de l'ILDERM, numéro 5, mai 1998, Nancy.

4 La référence à Joseph de Maistre, par ailleurs franc-maçon, l'un des premiers inspirateurs de l'extrême droite, celui qui glosa sur les crimes de la Révolution et ses fautes, n'est pas étonnante dans les propos de Turinaz dont nous avons dit qu'il était le fer de lance du catholicisme intégral, de ce catholicisme qu'on qualifie aujourd'hui plus volontiers d'intégriste.

5 Confer : Trois fléaux de la classe ouvrière et Mandement pour le saint Temps de Carême de l'année 1900. Lettre pastorale de monseigneur l'évêque de Nancy et de Toul, Nancy, A. Crépin-Leblond, imprimeur de l'évêché, 21, rue Saint Dizier et 40 rue des dominicains. Il existe en effet, selon Monseigneur Turinaz, trois fléaux qui touchent la classe ouvrière : d'une part la profanation du dimanche, d'autre part l'alcoolisme, enfin la mauvaise tenue des ménages ouvriers.

6 Et pour cause ! la presse à Nancy est, pour l'essentiel, une presse de droite et catholique.

7 Conseiller municipal élu en 1900.

8 De Courteville, avocat nancéien, sollicitera son admission à Saint-Jean de Jérusalem mais ne sera pas accepté.

9 Allusion au Vénérable de la Loge, le Frère Goutière Vernolle.

10 Registre des délibérations du Conseil d'Administration, archives de la Loge Saint-Jean de Jérusalem.

11 Il s'agit là d'un discours prononcé en juillet 1882 par le Frère Leclaire à la Loge Saint-Jean de Jérusalem.